Jeudi 24 août :
On a rendez-vous avec Véronique et Wolker, des amis de Karine au terminal des bus pour aller voir le site de Tula. Cette fois-ci encore, je dois batailler pour ne payer la course que 50 pesos.
Le site, et son musée, sont tout petits mais plutôt mignons (enfin surtout le site parce que le musée est très sommaire). La pyramide n'a qu'une vingtaine de marches ce qui est reposant par rapport aux ruines qu'on a visitées jusqu'à lors. Au sommet, il y a des grandes statues appelées les Atlantes. Les sculptures sont encore très précises, jusqu'aux fesses rebondies des personnages. :))
La vue d'en haut est belle. On voit également une raffinerie au loin. Ça, je dois dire, c'est pas ce qu'il y a de plus beau. Mais on a de la chance, quand les vents s'y mettent, on a aussi l'odeur !
On a rendez-vous avec Véronique et Wolker, des amis de Karine au terminal des bus pour aller voir le site de Tula. Cette fois-ci encore, je dois batailler pour ne payer la course que 50 pesos.
Le site, et son musée, sont tout petits mais plutôt mignons (enfin surtout le site parce que le musée est très sommaire). La pyramide n'a qu'une vingtaine de marches ce qui est reposant par rapport aux ruines qu'on a visitées jusqu'à lors. Au sommet, il y a des grandes statues appelées les Atlantes. Les sculptures sont encore très précises, jusqu'aux fesses rebondies des personnages. :))
La vue d'en haut est belle. On voit également une raffinerie au loin. Ça, je dois dire, c'est pas ce qu'il y a de plus beau. Mais on a de la chance, quand les vents s'y mettent, on a aussi l'odeur !
Vendredi 25 août :
Nous retrouvons Véronique et Wolker pour aller à Xochimilco.
Pour ceux qui connaissent le Sud-Vendée, ça ressemble à
la Venise verte mais avec des mariachis. Ils ont leur propre bateau et
proposent leur service pour 20 pesos. Si on accepte, ils collent leur
barque à la nôtre et chantent.
On croise également une trajinera pleine de jeunes gens qui sèchent les cours et vident des bouteilles par la même occasion. Gosses de riches quand même pour pouvoir se payer un bateau...
Le soir, on va dans un bar à mariachis. Ceux-ci datent au moins de la Révolution Mexicaine, moumoutes comprises. Pour 50 pesos, ils chantent la chanson de notre choix. Parce que c'est notre dernier soir à Mag et à moi, Véronique nous paie la chanson de la "despedida", (l'au revoir).
On trouve également sur cette place toute une faune de joyeux fêtards, des types plus ou moins ivres. Et malgré l'heure peu tardive à laquelle on passe, c'est plutôt plus que moins...
